Tips by Hector – Engagement Dry Run

Dans les années 1970 et 1980, avec l’essor des systèmes informatiques, l’idée de tester des processus ou des programmes avant leur mise en production a gagné en popularité.

Dans le cadre du développement d’un logiciel ou d’une application, cela peut impliquer l’exécution d’un programme dans le but de vérifier son fonctionnement sans modifier les données ou l’environnement et d’identifier des erreurs ou des problèmes potentiels avant le déploiement final.

Dans le cadre de la gestion de projet, cela peut faire référence à une répétition de présentation de réunion de kick-off, où les participants pratiquent le déroulement de la réunion sans que cela ait d’impact réel.

Quelques tips afin de réussir un engagement «  dry run  »  :

  • Définition d’objectifs clairs et précis : établir une liste d’éléments à tester ou à vérifier (processus spécifiques, présentations, etc.)
  • Implication de l’ensemble des tiers concernés du projet 
  • Création de scénarios réalistes  : utiliser des données et des problématiques réalistes potentiellement rencontrées par les clients (data, processus métiers existants, etc.)
  • Évaluation des risques  : cartographier l’ensemble des risques via l’élaboration de divers scénarii afin de limiter «  l’effet de surprise  »
  • Réalisation de répétitions  : répétez plusieurs  «  dry run  » afin d’affiner le processus et rassurer les clients
  • Documentation du processus testé  : faire des comptes-rendus sur les choses qui fonctionnent et les points à améliorer
  • Prise en considération de feedbacks  : une fois le «  dry run  » effectué, ne pas hésiter à organiser des sessions de débriefing afin de discuter des réussites et des points à améliorer
  • Adaptation et itération  : sur la base des feedbacks exprimés, utiliser ceux-ci afin d’ajuster les éventuels points à améliorer avant l’engagement réel
  • Flexibilité  : en fonction des résultats du «  dry run  », rester flexible même si cela nécessite des changements de dernière minute.